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Comment définir le bonheur ? Sa nature n’est-elle pas paradoxale ?
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Est-il de l’ordre du don comme le suggère l’étymologie (bonheur signifie bon augure : part de chance attribuée par les dieux aux hommes) ou de la conquête ?
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Est-il à notre portée ou bien fondamentalement inaccessible ? Bref, faut-il dire avec Schopenhauer et avec Freud que l’homme n’a pas été conçu pour le bonheur ou avec les sages antiques, considérer que la vertu de l’homme est de se rendre content ?
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Le bonheur est-il une fin morale comme l’entend la pensée antique ou faut-il dire avec Kant que « la majesté du devoir n’a rien à faire avec la jouissance de la vie » ?
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Comment s’articulent dans notre représentation du souverain bien la vertu et le bonheur ?
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Est-ce un devoir de rechercher le bonheur ?