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 La définition sociologique de la religion (Durkheim) montre qu'il n'existe pas une religion mais des religions, chacune ayant ses dogmes et ses rites spécifiques. On appelle religions positives les diverses religions telles qu'elles sont données dans l'expérience. "Positives" parce qu'elles ont été instituées (posées) par leurs fondateurs et par l'histoire.   Ex : le judéo-christianisme, l'islam, l'hindouisme, le bouddhisme etc.

  Opératrices d'identification sociale et morale, elles rassemblent les hommes dans des communautés plus larges que les communautés politiques (ex : La chrétienté, l'oumma musulmane), dont elles ont été historiquement les supports. (En témoigne l'idéal-type de l'Etat pré moderne : « une foi, un roi, une loi »).

 

   Mais si elles cohérent, elles divisent aussi ; les clivages religieux étant souvent à l'arrière plan des difficultés que les hommes ont à vivre ensemble.

   Voilà pourquoi les philosophes de l'époque moderne ont essayé de définir une religion naturelle.

  On appelle religion naturelle, la religion qu'on obtient lorsqu'on expurge les religions existantes de tous les éléments les particularisant, notamment de toutes les superstitions et les préjugés constituant le contenu foisonnant des religions positives.

   Elle est dite naturelle au sens où l'idée d'un dieu et celle de la loi morale ne sont pas étrangères à la nature humaine. Il suffit d'écouter la voix de la nature, de redonner ses droits à la lumière naturelle, pour rassembler les hommes dans une croyance commune. Car, bien que rendue inaudible par les scories sous lesquelles les religions des prêtres l'ont ensevelie, la voix de la nature est inaliénable. Et comme elle est universelle et éternelle, elle rend possible une religion fondée en nature ou en raison.

  Cf. Voltaire : « La religion est la voix secrète de Dieu, qui parle à tous les hommes ; elle doit tous les réunir, et non les diviser ; donc toute religion qui n'appartient qu'à un peuple est fausse. La nôtre est dans son principe celle de l'univers tout entier ; car nous adorons un Etre suprême comme toutes les nations l'adorent, nous pratiquons la justice que toutes les nations enseignent, et nous rejetons tous ces mensonges que les peuples se reprochent les uns aux autres. (...) Celui qui pense que Dieu a daigné mettre un rapport entre Dieu et les hommes, qu'il les a faits libres, capables du bien et du mal, et qu'il leur a donné à tous ce bon sens qui est l'instinct de l'homme, et sur lequel est fondée la loi naturelle, celui-là sans doute a une religion ; et une religion beaucoup meilleure que toutes les sectes qui sont hors de notre Eglise, car toutes les sectes sont fausses et la loi naturelle est vraie. Notre religion révélée n'est même et ne pouvait être que cette loi naturelle perfectionnée. Ainsi le théisme est le bon sens qui n'est pas encore instruit de la révélation, et les autres religions sont le bon sens perverti par la superstition. » Sermon des cinquante.

  Il s'agit donc de s'en remettre à la seule raison pour énoncer quelques dogmes, communs à l'humanité entière, et l'a sauvant de ce qui est indigne d'elle dans les religions positives :

  • Les superstitions d'abord, conduisant à douter que l'homme soit un être raisonnable. Bergson, au 20° siècle, soulignera ce paradoxe : « Le spectacle de ce que furent les religions, et de ce que certaines sont encore, est bien humiliant pour l'intelligence humaine. Quel tissu d'aberrations ! L'expérience a beau dire « c'est faux » et le raisonnement « c'est absurde », l'humanité ne s'en cramponne que davantage à l'absurdité et à l'erreur. Encore si elle s'en tenait là ! Mais on a vu la religion prescrire l'immoralité, imposer des crimes. Plus elle est grossière, plus elle tient matériellement de place dans la vie d'un peuple. Ce qu'elle devra partager plus tard avec la science, l'art, la philosophie, elle le demande et l'obtient d'abord par elle seule. Il y a de quoi surprendre, quand on a commencé à définir l'homme un être intelligent ». Les Deux Sources de la morale et de la religion. 1932.

 

  •  Le fanatisme, l'intolérance ensuite, si liés aux religions positives et si féconds en violence historique. Tous les adeptes de la religion naturelle pointent ce mal absolu dont il faut absolument libérer l'humanité. Locke jouera un grand rôle avec sa Lettre sur la tolérance et son souci de fonder à la fois philosophiquement et politiquement la nécessité morale de la tolérance.

 

  • L'enthousiasme, le délire mystique enfin, qui disqualifie la raison au nom d'un supposé commerce direct avec Dieu. Kant dénonce cette exaltation qui est encore plus dangereuse pour la raison que la superstition. « Cette folie religieuse exaltée est la mort morale de la raison, sans laquelle cependant il ne peut y avoir aucune religion, celle-ci devant comme toute moralité en général être fondée sur des principes » La religion dans les limites de la simple raison. 1793.

 

  Les Lumières vont donc revenir à l'héritage antique pour poser le dogme de l'existence d'un Etre Suprême. Comme chez Aristote ou chez les stoïciens, Dieu est conçu comme l'intelligence, le principe de ce qui est et en particulier du bel ordonnancement de l'univers.

  « Quoi de plus manifeste et de plus clair, quand nous avons porté nos regards vers le ciel et contemplé les corps célestes que l'existence d'une divinité d'intelligence absolument supérieure qui règle leurs mouvements ? » Cicéron, De la nature des dieux. Livre II, §2.

  C'est le thème du Grand Horloger ou Grand Architecte de l'univers.

   Bien qu'il récuse l'argument, Hume le fait formuler par Cléanthe, porte parole de la religion naturelle : « Jetez les yeux autour du monde, regardez-le dans son ensemble et dans ses parties : vous trouverez qu'il n'est qu'une grande machine divisée en un nombre infini de moindres machines, qui se subdivisent encore à un degré que les sens et l'intelligence de l'homme ne peuvent ni tracer ni expliquer. Toutes les machines diverses, et même leurs parties les plus déliées sont adaptées les unes aux autres avec une exactitude qui ravit en admiration tous les hommes qui les ont contemplées. La manière curieuse dont les moyens s'adaptent aux fins, dans toute l'étendue de la nature, ressemble exactement, quoiqu'elle les surpasse de beaucoup, aux ouvrages sortis de la main des hommes, aux résultats de leurs desseins, de leur pensée, de leur sagesse et de leur intelligence. Puisque les effets se ressemblent l'un à l'autre, nous avons droit d'inférer, par les lois de l'analogie, que les causes se ressemblent aussi, et que l'auteur de la nature est en quelque façon semblable à l'homme, quoiqu'il soit doué d'attributs bien plus relevés à proportion de la grandeur de l'ouvrage dont Il est l'auteur. Par cet argument a posteriori et par cet argument seul, nous prouvons en même temps l'existence de Dieu et sa ressemblance avec l'esprit et l'intelligence de l'homme » Dialogues sur la religion naturelle. II.1779.

 

    Les théoriciens de la religion naturelle sont donc confiants dans les forces de la raison humaine ou de la conscience capables, sans le secours de la révélation ou de la grâce de poser les dogmes d'une religion universelle.

   Cette « religion du laïc » (expression de l'ancêtre du déisme anglais : Herbert de Cherbury) est aussi appelée déisme.

  Le terme apparaît en français en 1563 sous la plume du protestant Pierre Viret pour désigner ceux qui croient :

En un Dieu créateur.

A la Providence divine.

A l'immortalité de l'âme.

Mais rejettent la Révélation et le dogme trinitaire.

   Rousseau est un adepte de la religion naturelle. Dans La Profession de foi du vicaire savoyard  il énonce trois dogmes : « une volonté anime la nature ; cette volonté est en même temps une intelligence ; il y a dans l'homme aussi une âme volontaire et intelligente ».

   Je n'ai pas voulu, disait Rousseau, diminuer la religion, j'ai voulu élaguer pour sauver l'arbre.

   Le culte révolutionnaire tente une institution de la religion naturelle sans succès. (Le culte de l'Etre suprême initié par Robespierre).

  Jusqu'à la fin du 17° siècle, la religion naturelle est une machine de guerre contre le christianisme comme religion des prêtres. C'est un anticléricalisme militant. Le déisme apparaît de plus en plus comme un athéisme qui ne dit pas son nom.

  C'est la raison pour laquelle Hume et Voltaire substituent au mot déisme celui de Théisme.

   Tandis que le déiste s'en tient à de simples convictions ne changeant rien dans la pratique à ce qu'exige la morale naturelle, le théiste admet la nécessité d'un culte, fut-il réduit à la prière d'adoration de l'infini face au soleil levant, comme chez Voltaire.

 

  Cf. L'article Théiste dans le dictionnaire de Philosophie. Voltaire 1765 :

 

  « Le théiste est un homme fermement persuadé de l'existence d'un Etre Suprême aussi bon que puissant, qui a formé tous les êtres étendus, végétants, sentants, et réfléchissants ; qui perpétue leur espèce, qui punit sans cruauté les crimes, et récompense avec bonté les actions vertueuses.

Le théiste ne sait comment Dieu punit, comment il favorise, comment il pardonne ; car il n'est pas assez téméraire pour se flatter de connaître comment Dieu agit ; mais il sait que Dieu agit, et qu'il est juste. Les difficultés contre la Providence ne l'ébranlent point dans sa foi, parce qu'elles ne sont que de grandes difficultés, et non pas des preuves ; il est soumis à cette Providence, quoiqu'il n'en aperçoive que quelques effets et quelques dehors ; et, jugeant des choses qu'il ne voit pas par les choses qu'il voit, il pense que cette Providence s'étend dans tous les lieux et dans tous les siècles.

  Réuni dans ce principe avec le reste de l'univers, il n'embrasse aucune des sectes qui toutes se contredisent. Sa religion est la plus ancienne et la plus étendue ; car l'adoration simple d'un Dieu a précédé tous les systèmes du monde. Il parle une langue que tous les peuples entendent, pendant qu'ils ne s'entendent pas entre eux. Il a des frères depuis Pékin jusqu'à la Cayenne, et il compte tous les sages pour ses frères. Il croit que la religion ne consiste ni dans les opinions d'une métaphysique inintelligible, ni dans les vains appareils, mais dans l'adoration et dans la justice. Faire le bien, voilà son culte ; être soumis à Dieu, voilà sa doctrine. Le mahométan lui crie : « Prends garde à toi si tu ne fais pas le pèlerinage à La Mecque ». « Malheur à toi, lui dit le récollet, si tu ne fais pas un voyage à Notre-Dame de Lorette ! ». Il rit de Lorette et de La Mecque ; mais il secourt l'indigent et il défend l'opprimé ».

 

PB :

 

  Expurger la religion du contenu foisonnant des religions positives n'est-ce pas la vider de sa substance et de son efficacité symbolique ?

  Sans Parole prophétique, sans textes sacrés, sans irrationnel peut-il y avoir ferveur religieuse, communautés unies dans des pratiques et des croyances communes ?

  L'erreur de la religion naturelle est sans doute de méconnaître que la croyance religieuse obéit à d'autres requêtes que celles de la raison.

 Elle s'enracine dans l'angoisse d'un existant confronté à sa misère. « Je ne sais qui m'a mis au monde, ni ce que c'est que le monde, ni que moi-même; je suis dans une ignorance terrible de toutes choses; je ne sais ce que c'est que mon corps, que mes sens, que mon âme et cette partie même de moi qui pense ce que je dis, qui fait réflexion sur tout et sur elle-même, et ne se connaît non plus que le reste. Je vois ces effroyables espaces de l'univers qui m'enferment, et je me trouve attaché à un coin de cette vaste étendue, sans que je sache pourquoi je suis plutôt placé en ce lieu qu'en un autre, ni pourquoi ce peu de temps qui m'est donné à vivre m'est assigné à ce point plutôt qu'à un autre de toute l'éternité qui m'a précédé et de toute celle qui me suit. Je ne vois que des infinités de toutes parts, qui m'enferment comme un atome et comme une ombre qui ne dure qu'un instant sans retour. Tout ce que je connais est que je dois bientôt mourir, mais ce que j'ignore le plus est cette mort même que je ne saurais éviter ».Pascal. Pensée B.194.

 

Elle est dans la théologie judéo-chrétienne, soumission à un Dieu qui vient vers l'homme et noue avec lui un rapport personnel. Dieu n'est pas un principe impersonnel, c'est un Père intervenant dans l'histoire pour faire alliance, d'abord avec un peuple, puis par la médiation du Christ avec l'humanité entière.

 « Le Dieu des Chrétiens ne consiste pas en un Dieu simplement auteur des vérités géométriques et de l'ordre des éléments; c'est la part des païens et des épicuriens. Il ne consiste pas seulement en un Dieu qui exerce sa providence sur la vie et sur les biens des hommes, pour donner une heureuse suite d'années à ceux qui l'adorent; c'est la portion les Juifs. Mais le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et de  Jacob, le Dieu des Chrétiens, est un Dieu d'amour et de consolation, c'est un Dieu qui remplit l'âme et le coeur de ceux qu'il possède, c'est un Dieu qui leur fait sentir intérieurement leur misère, et sa miséricorde infinie; qui s'unit au fond de leur âme; qui la remplit d'humilité, de joie, de confiance, d'amour; qui les rend incapables d'autre fin que de lui-même.

Tous ceux qui cherchent Dieu hors de Jésus-Christ, et qui s'arrêtent dans la nature, ou ils ne trouvent aucune lumière qui les satisfasse, ou ils arrivent à se former un moyen de connaître Dieu et de le servir sans médiateur, et par là ils tombent, ou dans l'athéisme ou dans le déisme, qui sont deux choses que la religion chrétienne abhorre presque également ». Pascal. Pensée B. 556.

 

  Au fond, athéisme, déisme, théisme, c'est la même chose pour l'âme religieuse. Il n'y a là que l'expression d'un orgueil humain, celui du philosophe et du savant, refusant de reconnaître sa misère et de se faire humble pour recevoir la révélation de Dieu sans laquelle il n'y a pas de salut possible.

  Bergson notait que si le Dieu des philosophes et des savants «  descendait dans le champ de l'expérience, personne ne le reconnaîtrait » Les Deux Sources de la morale et de la religion.

  Bergson pointe par là le lien de la religion à l'exaltation, à l'enthousiasme, au mysticisme, bref à ce que stigmatise Kant. Il voit dans la ferveur spirituelle, l'âme de la religion qui, sans elle, se fige sous des formes « statiques » et dogmatiques.

 

 

 

 

 

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13 Réponses à “Religion naturelle et religions positives.”

  1. Mario Lagace dit :

    J’aimerais vous faire part d’un point de vue realiste de ce que represente pour moi la religion https://economie humaine/version francaise Il s’agit aussi d’un projet de religion appliquee. Vos commentaires serons tres apprecies . Merci d’avance.

  2. Simone MANON dit :

    Désolée, le lien ne fonctionne pas.

  3. André Lecocq dit :

    Je cherchais depuis longtemps, en vain, une définition claire et simple de « religion naturelle » et « religion positive », pour ma fille qui est en « prépa » et étudie Rousseau. J’ai compris en quelques secondes grâce à votre site. Merci !

  4. Suzy dit :

    Merci beaucoup pour cet article sur la religion naturelle. Il m’aide vraiment pour mon commentaire sur l’Enquete de l’entendement humain de Hume. Bien qu’étant en Term littéraire je n’ai toujours pas autant de facilités.

    Philosophiquement vôtre !

  5. Simone MANON dit :

    La réflexion philosophique est difficile Suzy. Les « facilités », comme vous dîtes, sont souvent un piège.
    Comptez surtout sur votre travail. L’effort est toujours couronné, ne serait-ce que de la satisfaction d’avoir fait de son mieux.
    Bonne année de philosophie.

  6. Camille W dit :

    Bonjour,
    Je suis élève en Terminale Es et mon professeur de philosophie nous a récemment donné un sujet de dissertation à faire sur la religion, le sujet étant « La religion n’est-elle qu’une superstition? »
    J’ai donc pensé que cela renvoyait à l’irrationnalité de la religion, des croyances religieuses. Est-ce une bonne piste ?
    Merci par avance.
    Ps : serait-il possible de me répondre via mon e-mail ?

  7. Simone MANON dit :

    Bonjour Camille
    Je ne réponds que par le canal de mon blog.
    Cette question engage effectivement une réflexion sur l’irrationalité de la religion (analyse de l’idée de superstition et ses différents visages: thèse) mais le « ne que » vous invite en antithèse à en interroger la rationalité.
    Bon travail.

  8. MONICA dit :

    Bonjour,
    Je dois faire une dissertation « Pourqoi y a t-il des réligions?
    Pouvez-vous m’aider pour le plan?
    Quel est l’enjeu? Le pouvoir de la réligion en général ? ou il faut parler des différentes réligions ?
    merci beaucoup de votre aide

  9. Simone MANON dit :

    Désolée Monica, je n’interviens pas dans le travail des élèves.
    Vous avez sur ce blog un article intitulé: quel est le rôle de la religion? Il devrait vous éclairer.
    Bon travail.

  10. Barbara I. dit :

    Bonjour,
    Élève de terminale S, je dois rédiger une dissertation sur le sujet « Le déisme n’a pas de dogme, est-ce toujours une religion ? »
    Or, les déistes croient en une entité divine, un Dieu universel, et on considère le déisme comme une « religion naturelle », donc bien comme une forme de religion.
    Néanmoins, la définition même de la religion est qu’elle repose sur des dogmes.
    Est-ce qu’une troisième partie sur l’utilité, l’origine des dogmes serait appropriée ?
    Je vous remercie par avance pour votre réponse, ainsi que pour les cours très clairs que proposent votre site.

  11. Simone MANON dit :

    Bonjour
    Il faut faire attention au dogmatisme des définitions.
    Très largement, la religion est le culte rendu à la divinité. Il y a religion, au sens minimaliste, dès lors que l’homme se relie à une transcendance, qu’il y a prière, attitude de respect à l’endroit de quelque chose qui nous dépasse. De ce point de vue, le déisme ou le théisme n’échappe pas au genre religion même s’il n’implique pas des dogmes révélés.
    Je ne vois pas la pertinence d’une troisième partie qui interrogerait soit l’utilité, soit l’origine des dogmes (ce qui n’est pas du tout la même chose).
    En revanche, il serait judicieux de tenter de dépasser l’opposition entre religions positives et religion naturelle, en interrogeant l’idée même de religion.
    Bien à vous.

  12. taiwe alphonce dit :

    Bonjour. Est-ce que la philosophie religieuse de rousseau s ‘oppose a la philosophie religieuse de kant?autrement dit,comment concoivent -ils la religion?merci

  13. Simone MANON dit :

    Bonjour
    Pour répondre à cette question, il vous suffit de prendre la peine de lire:
    – La profession de foi du Vicaire Savoyard et le dernier chapitre du Contrat social de Rousseau
    – La religion dans les limites de la raison de Kant.
    Bon travail.

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